Une milice progouvernementale, appelée LIMA FS, dirigée par le sous-préfet lieutenant Jean Oulai Delafosse, semble continuer à avoir des Libériens dans ses rangs.
Deux autres accusés, un lieutenant de l'Armée indonésienne et un fonctionnaire indonésien figuraient sur l'acte d'accusation mais sont toujours en liberté en Indonésie.
Sur autorisation du lieutenant Salsinha, M. Leki a fait le 26 avril un autre discours dans lequel il a tenu des propos incendiaires contre les orientaux.