L'une et l'autre partie - l'Organisation ou le fonctionnaire - pourrait contester une décision du tribunal du contentieux administratif devant la cour d'appel.
Les trois Law Lords ont fermement rejeté l'analyse préférée par la majorité car elle placerait en réalité sur les requérants une charge dont ils peuvent rarement s'acquitter.
La Chambre d'appel a infirmé la décision de la Chambre de première instance concernant les modalités, estimant qu'elle ne réservait à l'accusé qu'un rôle secondaire dans son procès.
La demande visant à faire reconnaître une union de facto doit être déposée dans les deux ans qui suivent la rupture ou le décès de l'un des partenaires.
Un justiciable qui s'est heurté à la partialité des juges à son procès n'a aucun recours disponible au Canada, si ce n'est la procédure d'appel qu'elle a elle-même épuisée.
Selon lui, le Président de la Cour suprême était partial parce que c'est lui qui avait statué sur l'appel formé par l'auteur de sa condamnation pour atteinte à l'autorité de la justice.
La cour d'appel indique que c'est pour des raisons bien précises qu'elle a tenu compte de certaines conclusions soumises par une partie et estimé qu'il était «manifestement inutile» d'inviter l'autre partie à y répondre.
Dès réception de la requête, le Tribunal en avise la Partie qui n'a pas comparu ou qui n'a pas répondu, et lui accorde au moins 30 jours pour répondre par écrit à la requête.
Quel que soit l'appel, le Procureur a son mot à dire et il faut que les pièces requises soient produites ou déposées dans les délais fixés par le Règlement ou la Chambre d'appel.
À cet égard, l'État partie est invité à mettre en place un mécanisme permettant de faire appel des décisions concernant l'expulsion d'étrangers, et ayant un effet suspensif tant qu'une procédure d'appel est en cours.
À cet égard, on peut noter que la Cour de justice des Communautés européennes peut procéder à une évaluation plus stricte en appel que ne l'a fait le Tribunal de première instance des Communautés européennes.
L'attention du Comité est appelée sur le fait que la Commission de recours des étrangers a estimé que les déclarations de l'auteur à ce sujet n'étaient pas crédibles, mais qu'elle n'a pas motivé son assertion.
En conséquence, la cour d'appel, qui n'était tenue par aucun délai, devrait veiller à ce que chaque partie puisse contester les preuves que l'autre versait ou souhaitait verser au dossier et, le cas échéant, ajourner l'audience.
Les décisions de la Chambre sont sans appel. Il est cependant possible d'obtenir des précisions complémentaires et des éclaircissements, à tout moment, dans un délai de trois jours, à la demande des parties ou d'office.
Tout en appuyant le projet, les délégués de Cuba, du Qatar, de la Dominique et du Soudan ont fait part de leur préoccupation concernant le projet de procédure d'appel prévue au paragraphe 2 du projet de résolution.