Le surhomme devient rapidement la nouvelle icône de la jeunesse américaine, un porteur d’espoir et de réconfort dans un pays confronté à une grave crise économique.
Le surhomme, lui, parvient à se libérer du carcan de l’identité qu'on lui impose et ainsi il laisse s’exprimer la pluralité d’identités qui se mêlent en lui.
Parce que le surhomme, contrairement à des idées reçues, n'est absolument pas l'individu solitaire, génial, carrompu avec le christianisme, carrompu avec tout, qui trône sur l'humanité.
Donc, ni véritablement critique de la masse, ni promoteur du surhomme seul, isolé, surplombant le monde, on trouve chez Nietzsche et notamment dans Le Guet Savoir l'esquisse d'un homme, on pourrait dire, qui serait un bon héritier.