L'infanticide des filles, lors duquel une petite fille est tuée à sa naissance ou peu après, est une pratique traditionnelle dans certaines régions de l'Asie.
Les avortements sélectifs et les infanticides, de même que l'abandon des petites filles demeurent des conséquences négatives des politiques de planification familiale et des comportements sociétaux.
Cette pratique est répandue dans l'ensemble du pays, contrairement à la pratique de l'infanticide des fillettes, qui est un phénomène local, avéré uniquement parmi certaines communautés.
La négligence ou le retard dans l'administration de soins peuvent contribuer bien plus à la mortalité des nourrissons et des enfants handicapés que l'infanticide proprement dit.
L'infanticide des filles, l'assassinat lié à la dot, l'immolation de l'épouse par le feu et le trafic organisé des femmes et des enfants n'existent pas au Bhoutan.
Les infanticides, les mutilations génitales féminines, les meurtres pour sauver l'honneur, les brûlures à l'acide et de nombreux autres actes odieux sont souvent approuvés par la société.
Le Comité prie instamment l'État partie d'entreprendre une étude sur les causes de l'infanticide sur son territoire et de mettre en œuvre toutes les mesures de prévention nécessaires.
La préférence donnée aux fils persiste dans de nombreuses sociétés et constitue la principale cause des avortements de fœtus féminins et de l'infanticide à l'endroit des filles.
Les mâles qui ne prennent pas part à l'éducation des petits, n'hésitent donc pas à adopter la pire des stratégies : l'infanticide, pour avoir accès aux femelles.
Des transfuges Nord-Coréens ont décrit l'existence de camps de détention où ont lieu la torture, le viol, les avortements forcés et l'infanticide le travail forcé et l'expérimentation médicale.
Dès les premiers signes, il est impératif de consulter un spécialiste pour soigner cette maladie aux conséquences potentielles dramatiques pour la mère et l’enfant. En effet, une dépression post-partum peut conduire au suicide ou à l’infanticide.