Mais, malgré les observations de Mac Nabbs, Glenarvan ne voulait plus espérer. Le lendemain s’écoula encore sans que les apprêts du supplice fussent faits. Voici quelle était la raison de ce retard.
Puis il surveilla lui-même les apprêts du départ, le transport des barils à bord, l'embarquement d'Athos, et prenant par le bras d'Artagnan tout ébahi, tout ému, il l'emmena vers Newcastle.