Puis, dans un court conciliabule tenu entre elles, il avait été convenu que Julie écrirait à son frère, en garnison à Nîmes, d’arriver à l’instant même.
Le capitaine commandant le fort Kearney était là. Ses soldats — une centaine d’hommes environ — s’étaient mis sur la défensive pour le cas où les Sioux auraient dirigé une attaque directe contre la gare.