Cette mesure a été reconnue légale par le tribunal de Gldani-Nadzaladevi, qui a conclu que les publications avaient été introduites en Géorgie illégalement, sans avoir été dûment dédouanées.
Un des sujets de préoccupation est l'apparente facilité avec laquelle, une fois transformés, les pierres et les métaux précieux peuvent franchir les contrôles d'immigration et de douane, au vu de tous, sur la personne qui les porte en bijoux.