La Banque centrale européenne, quant à elle, a maintenu son taux directeur à 4 %, considérant que le risque d'inflation était plus inquiétant que le ralentissement de la croissance.
Mais à ne pas savoir nommer une part de France en marge, on peine aussi à la définir scientifiquement et à l'aider efficacement quand l'inflation la menace plus que les autres... .