Le rôle de tous ces facteurs environnementaux dans le développement récent de l’obésité doit encore être éclairci et fait actuellement l’objet de nombreux travaux de recherche.
Face au regain de l'épidémie, les plus vulnérables sont nos aînés et ceux qui souffrent d'obésité, de maladies cardio-vasculaires, de maladies respiratoires ou de diabète sévère.
Cet indicateur est utile pour faire des statistiques à l’échelle d’un grand nombre de personnes, mais il ne définit pas vraiment ce qu’est l’obésité à l’échelle d’un individu.
Et puis on sait également que la surcharge informationnelle, l'infobésité, est responsable d'une dégradation des relations au travail aujourdhui La journaliste (Céline) : Pourquoi ?
D'abord, c'est le premier, protéger les plus âgés, les plus fragiles, celles et ceux qui sont atteint de diabète, d'obésité, d'hypertension, de maladies chroniques et qui sont les premières victimes du COVID-19.
L'abondance a également eu des effets pervers sur la santé de la population : Nauru est en effet connu pour avoir le taux d'obésité le plus élevé au monde : 61 % des adultes sont affectés.