Cette révision a visé essentiellement à marquer l'adhésion des jurisconsultes de droit musulman aux textes adoptés en vertu du droit positif, dont celui portant abolition de l'esclavage.
M. Baali (Algérie) dit qu'il plaint le représentant du Maroc qui vient d'évoquer le droit international : il est douloureux de voir un juriste aussi éminent obligé à plaider une mauvaise cause.
Le Tribunal envisage aussi d'accorder une assistance pour la mise en place de programmes de formation à l'intention des juristes dans l'ex-Yougoslavie pour leur enseigner la manière dont il convient d'appliquer le droit international humanitaire.