L'Egypte, elle, préfère voir derrière toute cette affaire une histoire de complot anglo-américain, de scénario écrit à l'avance et déformant la vérité.
A la fin des années 1980, Gorbatchev parle ouvertement d'arbitraire, de répression injuste, d'abus de pouvoir, de falsification des faits par les autorités, quitte à briser définitivement la crédibilité de l'État soviétique.