L'État partie devrait faire en sorte que les autorités compétentes assignent un représentant légal aux enfants non accompagnés qui demandent l'asile (art. 13 et 24).
La nouvelle législation prévoit enfin la désignation systématique d'un tuteur qui assiste le mineur non accompagné dans le cadre de l'examen de sa demande.
Le Chili a déclaré qu'un représentant ad litem était désigné dans les affaires qui impliquaient des enfants afin de veiller aux intérêts de ces derniers.
Mais il leur faut un traitement particulier et des informations adaptées à leurs besoins, et il faut désigner un tuteur chargé de leur fournir de l'aide.