L'utilisation des pesticides demeure la plus forte dans les pays développés mais ces marchés sont en stagnation ou en recul, en raison, en partie, de graves préoccupations au sujet de l'environnement dans plusieurs pays.
Ce raisonnement suppose que la plupart des marchés qui fonctionnent normalement se sont effondrés et que ceux qui restent sont statiques, et que le retour à la normale découlera directement de l'assouplissement des mesures d'occupation.
Le fait de ne pas arriver à lui trouver des missions aussi fréquemment que ce qu'on était en capacité de faire il y a 2 ou 3 ans, pour nous, c'est effectivement signe d'un marché qui est à l'arrêt, quasiment complètement.