Prière d'informer en outre le Comité de l'étendue de la pratique « mia noi » (deuxième femme) dans l'État partie malgré l'interdiction officielle de la polygamie.
Les femmes en situation de seconde épouse sont exploitées en tant que main-d'oeuvre à bon marché et sont souvent défavorisées en matière de droit puisque leur mariage n'est pas enregistré.
Quelques-uns, de loin, sous la voilette qui lui cachait le visage, la prenaient pour madame Hennebeau. D’autres nommaient une amie de la directrice, la jeune femme d’un usinier voisin, exécré de ses ouvriers.