Mais il n'en demeure pas moins que, neuf ans après Dayton, les autorités de la Republika Srpska n'ont pas appréhendé un seul individu inculpé par le TPIY.
Lors des Accords de paix de Dayton et de Paris, les parties ont pris l'engagement solennel de livrer les inculpés au Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY).
L'Autorité palestinienne demande la création d'un tribunal pénal international chargé de juger les personnes accusées de crimes de guerre commis dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem.
S'il était juridiquement impossible d'appliquer ce Statut, le Conseil de sécurité devrait envisager la création d'un tribunal pénal international spécial pour traduire en justice les criminels de l'entité sioniste.
Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie a joué un rôle central s'agissant d'établir des critères jurisprudentiels pour la poursuite des auteurs d'actes de violence sexuelle en temps de guerre.
Dès lors que la décision de renvoi est devenue définitive à l'égard des 13 autres accusés, le parquet général a audiencé leur affaire devant la Cour criminelle pour y être jugée.
Au Royaume-Uni, la législation contre le blanchiment de l'argent disposait que toutes les infractions majeures (par exemple, les infractions qui pouvaient être jugées à la Crown Court) constituaient des infractions principales.
Depuis que la Cour pénale internationale a annoncé des inculpations, la LRA commence également à prendre pour cibles l'ONU et les organisations non gouvernementales, entravant ainsi leurs activités dans le Sud-Soudan.
Le peuple kosovar a certes fait preuve d'une remarquable maturité politique lorsque l'ancien Premier Ministre Haradinaj a été inculpé et que celui-ci s'est rendu volontairement au Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie.
Pour l'Érythrée, néanmoins, il ne fait pas de doute que les responsables éthiopiens en cause auront un jour, quoi qu'il advienne, à répondre de leurs actes devant un tribunal pénal international.
À cet égard, nous nous associons pleinement à tous les efforts consentis par le Tribunal international pour l'ex-Yougoslavie afin de juger sans plus de retard tous les criminels de guerre accusés.
Le premier obstacle de ce type est le manque de coopération des États, principalement pour ce qui est d'arrêter et de transférer des personnes inculpées par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY).
Deuxièmement, les 17 personnes accusées par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) et par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) qui sont toujours en fuite doivent être traduites en justice.
Les parties se sont solennellement engagées à Dayton il y a huit ans à coopérer avec le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) et à remettre les inculpés aux mains de la justice.
À compter de cette date, et puisque le Tribunal pénal suprême iraquien est un organe de l'État souverain iraquien, la détention avant jugement d'une personne traduite devant le Tribunal relève de la responsabilité de l'Iraq.