La définition des seuils au-delà desquels les modifications des systèmes des zones sèches seraient irréversibles constitue un défi scientifique considérable.
Les Nations Unies mettent en garde contre un désastre humanitaire de grande ampleur ; le Soudan approche du « point de rupture » , selon le responsable de l'ONU pour les affaires humanitaires.
Un point de rupture a été atteint hier lorsque le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a exigé le départ des casques bleus de l'ONU des zones de combat au sud Liban.
Ce qu'il faut dire, c'est que pour en arriver à ce point critique, maman a déjà entendu cette question — si elle a trois enfants et qu'on est en février — au moins 75 fois.
On pense que la nature s'apprête à atteindre un seuil au-delà duquel elle risque de basculer dans des états et dans des systèmes qui seront dégradés et qui ne pourront pas se restaurer.
Mais par manque d'argent, par manque de moyens financiers pour fonctionner, ce point de rupture est atteint, dit le chef de l'UNRWA dans une lettre adressée au président de l'Assemblée générale de l'ONU.