La délégation néo-zélandaise se félicite donc des progrès réalisés dans l'engagement de négociations internationales visant à interdire le clonage reproductif.
La délégation a reconnu que les approches sectorielles posaient deux problèmes fondamentaux difficiles à résoudre, la visibilité et la responsabilité financière.
Parmi les questions fondamentales fréquemment abordées dans les observations sur la protection et sur la gestion des programmes figure celle du partenariat.
L'Organisation des Nations Unies et l'Organisation mondiale du tourisme jugent souhaitable de coopérer en ce qui concerne les questions administratives d'intérêt commun.
En somme, les Objectifs du Millénaire doivent être considérés comme un pacte mondial qui repose sur des engagements réciproques et des responsabilités partagées.
Mais ils ont tous commencé avec un premier pas unique : le principe général selon lequel, pour résoudre nos problèmes, nous devons oeuvrer conjointement.
L'attention a toutefois été appelée sur les circonstances excluant l'illicéité qui étaient énoncées dans de nombreux accords de coopération bilatérale de la Communauté européenne.
Le réseau interinstitutions de coordonnateurs sur l'exploitation et les sévices sexuels, présidé par la MONUC, suit une approche conjointe pour lutter contre ces comportements.
La capacité de propagation transfrontière à longue distance des polluants organiques persistants en faisait un problème mondial que seuls des efforts conjugués pouvaient résoudre.
Les peines encourues par les complices, les coauteurs et les personnes qui tentent de commettre de tels actes sont déterminées selon des principes semblables.