C'était important pour nous qu'elles aient un sens, ces mascottes.
Que ce ne soit pas juste un animal ou un objet mais qu'elles aient un sens.
Et le bonnet phrygien, pour nous, est porteur de symboles.
C'est un symbole de liberté, un symbole qui est très franco-français, qu'on retrouve dans notre quotidien.
Deux mascottes : une olympique, une paralympique.
Et sur la mascotte paralympique, on voulait qu'il y ait un handicap visible, parce que, encore une fois, ça va être la première fois que la France va organiser les Jeux paralympiques d'étés.
Pour nous, il faut qu'on assume le fait de porter ce message d'inclusion, de mieux intégrer les personnes en situation de handicap.
On l'a vu, on a étudié de très près tous les chiffres des dernières éditions des Jeux, il y a à peu près de deux millions de mascottes qui se vendent.
Parce que, souvent, quand on vient aux Jeux, on a envie de rapporter un souvenir et on achète en général la mascotte.
Donc, il y a un enjeu économique qui est important.