Il fallait évidemment essayer de cette substance, bien qu’elle ne valût pas le quinquina, et l’employer à l’état naturel, puisque les moyens manquaient pour en extraire l’alcaloïde, c’est-à-dire le salicine.
L’écorce de saule, en effet, a été justement considérée comme un succédané du quinquina, aussi bien que le marronnier de l’Inde, la feuille de houx, la serpentaire, etc.
À ce distillat amer à base de rhubarbe, de quinquina, de gentiane jaune, d'orange amère et de plantes, les Italiens ajoutent de l'eau gazeuse et une rasade de prosecco.